Crédits : William Nathanael Guarin

Nos vies ont changé et avec ces changements, notre façon de voyager devrait également changer. 

Le tourisme en général a été accusé d’être responsable de nombreux maux : le changement climatique, la détérioration des sites archéologiques, qu’ils soient naturels et culturels et de la qualité de vie des populations des pays qu’il promeut.

Face à cette situation, des concepts tels que TOURISME DURABLE, RESPONSABLE, SOLIDAIRE et plus récemment, TOURISME RÉGÉNÉRANT, ont émergé.

Il était important de démontrer que le tourisme n’est en aucun cas synonyme de destruction et qu’il existe plusieurs façons de faire du tourisme. Contrairement au tourisme de masse, de nombreuses entreprises touristiques s’engagent en faveur de l’environnement et du développement économique durable des régions et des pays qu’elles promeuvent.

COMMENT PENSER LE TOURISME DE MANIÈRE PÉRENNE EN PANDÉMIE  ?

Crédits : William Nathanael Guarin

Conditions

À court terme, le respect des normes de biosécurité et la protection de notre santé sont les premières conditions pour se décider à voyager.  

Redécouvrir nos propres pays avec la famille ou les amis sera la première option.  

Au fur et à mesure que les frontières s’ouvriront et que nous pourrons voyager à nouveau,  où que nous allions, nos voyages doivent être responsables. 

Responsables envers nous-mêmes, envers les populations des lieux que nous visiterons, envers l’environnement et la nature.

Outre la notion de responsabilité lors du voyage, la notion de respect et de solidarité envers les populations, les communautés et les groupes sociaux avec lesquels nous allons interagir pendant notre voyage, sera également obligatoire. 

Nos voyages doivent contribuer au développement durable des personnes et des lieux visités.

COMMENT PENSER LE TOURISME DE MANIÈRE PÉRENNE EN PANDÉMIE  ?

Crédits : William Nathanael Guarin

Responsabilité du voyageur

Lorsque le voyageur choisira sa destination et les modalités de son voyage, il devra le faire de manière responsable. Il doit tenir compte de l’impact que son voyage aura sur les populations, la nature et l’environnement :

  • Il est possible de voyager de manière responsable.
  • Il est possible d’interagir avec les populations et les communautés dans le respect et la solidarité.
  • Il est possible d’apporter du bien-être et de laisser une marque positive sur le lieu visité.

En résumé, les mots clés du tourisme des années à venir seront : la biosécurité, la responsabilité, la solidarité, le respect de la nature et le sens du voyage.

Avant de partir nous voulons tous être sûrs que notre voyage se déroulera comme prévu, sans risques ni contraintes.
Les organisations sanitaires de tous les pays ont défini des protocoles de biosécurité que nous devons tous appliquer pour protéger notre santé et celle de notre entourage.

Les lieux et entreprises publiques et privées doivent appliquer ces protocoles de manière rigoureuse et obligatoire et obtenir, selon les pays, le certificat national qui le prouve.

Les organisations internationales du tourisme ont défini, à leur tour, des labels de biosécurité qui sont accordés aux pays et aux entreprises touristiques qui prouvent que ces protocoles sont respectés.

Avant de voyager, le voyageur doit s’assurer que sa destination possède les certificats obligatoires et au moins un des labels internationaux de biosécurité.

Les entreprises et organisations liées au tourisme telles que les compagnies aériennes, les aéroports, les agences de voyage, les moyens de transport, les hôtels, les restaurants et les lieux de visite ont été les premières à appliquer ces normes et à obtenir ces certificats.

Le recours à un professionnel du voyage pour organiser votre voyage sera donc le premier facteur de confiance pour votre futur voyage !