Les voyages sont souvent l’occasion de faire des rencontres. En août dernier, lors de mon voyage dans le nord-ouest de l’Argentine, j’ai rencontré Valeria Martínez Vázquez.
Javier Leibiusky : Valeria, parlez-nous un peu de vous et dites-nous comment vous avez choisi cette voie.
Valeria : Dès mon plus jeune âge, j’ai commencé mon chemin dans la danse et le chant, cherchant dans l’art, une forme d’expression de l’âme et de manifestation de la sensibilité. J’ai expérimenté les deux disciplines en groupe et en seule dans différentes villes d’Argentine.
À l’adolescence, ma sensibilité est devenue plus aiguë et je n’arrivais pas à trouver d’explication à mes perceptions, ce qui m’a conduit à une quête personnelle pour comprendre certaines choses en rapport avec le plan énergétique. J’ai toujours été très curieuse et c’est ce qui m’a conduite à suivre ces chemins si différents que sont la lecture sur la métaphysique, la philosophie et la religion, la pratique de la méditation, du tai chi, de l’aïkido et du yoga.
En 2001, je suis allée à Valencia (Espagne), où j’ai commencé mes études de thérapie par le son et de reiki pendant dix ans, au cours desquels j’ai donné des concerts dans plusieurs villes d’Espagne et de France. J’ai été en contact avec des styles musicaux différents lors de mes voyages au Maroc, au Portugal, en Italie, en Hollande, en Belgique, en Allemagne, en Suisse, en Croatie, en Slovénie, en Hongrie, en Slovaquie, en Autriche et à Malte.
JL : Parlez-nous de votre contact avec les peuples indigènes d’Amérique du Sud
Valeria : En 2011, je suis retournée en Amérique du Sud pour entrer en contact avec les communautés des peuples indigènes : Guarani, Mapuche, Qom, Huarpes et Comechingones (Argentine), Aymara (Bolivie), Quechua et Q’eros (Pérou), apprenant l’utilisation des instruments et des chants pour la guérison.
À mon retour en Argentine, j’ai suivi le cours de médecine indigène américaine donné par l’université de Buenos Aires et la société latino-américaine de phyto-médecine. Après quelques années, j’ai obtenu un diplôme de l’International School of Biomusic, où je suis actuellement professeure. J’ai suivi une formation de facilitatrice en chant harmonique et mantras, et de Thérapie par le tambour et chants de la terre (Icaros), et me suis formée aussi comme guide dans les danses méditatives en cercle, le Drum Journey et le Biodécodage transpersonnel.
Valeria : Dès mon plus jeune âge, j’ai commencé mon chemin dans la danse et le chant, cherchant dans l’art, une forme d’expression de l’âme et de manifestation de la sensibilité. J’ai expérimenté les deux disciplines en groupe et en seule dans différentes villes d’Argentine.
À l’adolescence, ma sensibilité est devenue plus aiguë et je n’arrivais pas à trouver d’explication à mes perceptions, ce qui m’a conduit à une quête personnelle pour comprendre certaines choses en rapport avec le plan énergétique. J’ai toujours été très curieuse et c’est ce qui m’a conduite à suivre ces chemins si différents que sont la lecture sur la métaphysique, la philosophie et la religion, la pratique de la méditation, du tai chi, de l’aïkido et du yoga.
En 2001, je suis allée à Valencia (Espagne), où j’ai commencé mes études de thérapie par le son et de reiki pendant dix ans, au cours desquels j’ai donné des concerts dans plusieurs villes d’Espagne et de France. J’ai été en contact avec des styles musicaux différents lors de mes voyages au Maroc, au Portugal, en Italie, en Hollande, en Belgique, en Allemagne, en Suisse, en Croatie, en Slovénie, en Hongrie, en Slovaquie, en Autriche et à Malte.
JL : Parlez-nous de votre contact avec les peuples indigènes d’Amérique du Sud.
Valeria : En 2011, je suis retournée en Amérique du Sud pour entrer en contact avec les communautés des peuples indigènes : Guarani, Mapuche, Qom, Huarpes et Comechingones (Argentine), Aymara (Bolivie), Quechua et Q’eros (Pérou), apprenant l’utilisation des instruments et des chants pour la guérison.
À mon retour en Argentine, j’ai suivi le cours de médecine indigène américaine donné par l’université de Buenos Aires et la société latino-américaine de phyto-médecine. Après quelques années, j’ai obtenu un diplôme de l’International School of Biomusic, où je suis actuellement professeure. J’ai suivi une formation de facilitatrice en chant harmonique et mantras, et de Thérapie par le tambour et chants de la terre (Icaros), et me suis formée aussi comme guide dans les danses méditatives en cercle, le Drum Journey et le Biodécodage transpersonnel.
J’ai terminé ma formation de professeure de Yoga, en décembre 2019, pendant laquelle je me suis spécialisée dans le travail avec le son, et en décembre 2021, je suis devenue professeure de yoga Nada, avec l’aval de la Yoga Alliance International et de la Word Yoga Federation.
Depuis plusieurs années, je travaille en collaboration avec une chirurgienne, en accompagnant les processus des patients en oncologie, en soins palliatifs et aussi toute personne qui souhaite avoir une vision holistique de sa santé physique, émotionnelle/mentale et énergétique, en mettant à disposition tous les outils dont je dispose pour améliorer la qualité de vie de manière concrète.
J’organise aussi des ateliers, j’accompagne des cérémonies pour honorer la Pachamama, des mariages et des baptêmes selon les traditions des peuples indigènes, des cérémonies de guérison de la lignée et des conférences où je partage mon parcours et les moyens d’adapter les pratiques ancestrales à la vie urbaine.
Actuellement, je vis à Mar del Plata, en Argentine, où je poursuis ma spécialisation basée sur l’intégration des pratiques ancestrales avec les possibilités offertes par les études actuelles en neurosciences et en physique quantique.
JL : De quelle manière les méthodes que vous pratiquez pourraient-elles aider l’être humain moderne et citadin ?
Valeria : Un de mes objectifs est de fournir des outils concrets qui intègrent les différentes branches que j’ai étudiées, en proposant des exercices concrets et simples qui peuvent être mis en pratique dans la vie de tous les jours, surtout dans les villes, afin de redécouvrir notre plus grand potentiel, qui remonte à la surface lorsque nous sommes présents et harmonieux.
En parlant d’harmonie, les sons agissent par le principe de la résonance, et leurs vibrations traversent notre corps, modifiant nos cellules, nos pensées et nos émotions ; c’est le véhicule que je choisis le plus souvent pendant les thérapies.
Valeria Martínez Vázquez
Javier Leibiusky
Auteur (Traduit par Claudia OUDET )